25 avril 2014

C'est la guerre.

C'est arrivé comme ça, sournoisement. Insidieusement. Une vague histoire de petit déjeuner. Une fringale de fin de matinée. C'était bien parti pourtant : il faisait beau, le beurre était déjà sorti du frigo et il restait du café. Mais, d'un coup, les mots ont été lâchés. Les mots gratuits, les mots qui blessent. Avec cette lueur de défi arrogant dans le regard.
Dorénavant, plus rien ne sera jamais comme avant, même des excuses n'y feront rien.
En tout cas, pas tant qu'il appellera "pain au chocolat" une chocolatine.

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